Pendant la guerre de 1870, une Anglaise, Mercy Merrick, infirmière volontaire à la Croix-Rouge, accompagne un convoi de blessés français. Elle est poursuivie par un terrible passé qu’elle veut oublier.
Le convoi recueille une autre Anglaise, Grace Roseberry. Elle vient de quitter l’Italie après la mort de son père et traverse la France pour rejoindre l’Angleterre. Son père lui a laissé une lettre de recommandation pour une vieille tante vivant à Londres. Elle espère se faire recueillir par cette riche parente qu’elle n’a jamais vue.
Les Prussiens attaquent le village où le convoi avait fait halte. Un obus tombe sur la maison où les deux femmes se racontaient leurs vies. Grace tombe, le crâne ouvert par un éclat. Les Prussiens s’approchent et Mercy, voulant échapper définitivement à son passé, prend les papiers de la morte et décide de se faire passer pour elle.
Elle rejoint ensuite l’Angleterre et s’installe dans le bel hôtel de la tante, sous le nom de Grace Roseberry. Oui mais voilà : la morte n’était pas tout à fait morte et un chirurgien prussien l’a sauvée…
Le sens de l’intrigue et des rebondissements font merveille dans ce roman nimbé d’une atmosphère délicieusement victorienne . Ami de Charles Dickens, Wilkie Collins fut une des gloires littéraires de l’Angleterre du XIXè siècle. Les éditions Libretto l’ont sorti de l’oubli pour notre plus grand plaisir.
Un excellent roman qui se lit d’une traite.
roman très prenant
pour les amateurs de Collins: je partage mon coup de cœur pour un auteur qui me semble être un digne héritier de ce dernier , Robert Goddard . « le secret d’Edwin Strafford » étant son roman le plus passionnant ! (mais ses derniers romans sont nettement moins bien)
J’aimeJ’aime
Cela m’a l’air tout à fait passionnant ! Merci pour la recommandation
J’aimeJ’aime
Lecture très agréable que j’ai dévorée… et aussitôt oubliée. Peut-être les personnages sont-ils un peu trop fades ?
J’aimeJ’aime